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Si vous avez troqué la cigarette pour la cigarette électronique, vous pensez peut-être avoir fait un choix judicieux pour votre santé. Mais qu’en est-il vraiment? Les cigarettes électroniques sont-elles véritablement « plus sûres » que les cigarettes traditionnelles?

 

La réponse vous surprendra peut-être, et l’effet sur vos primes d’assurance pourrait vous amener à reconsidérer votre nouvelle habitude.

 

 

Selon une étude sur l’usage du tabac au Canada, environ 20 % des répondants âgés entre 15 et 24 ans ont essayé la cigarette électronique au moins une fois 1. – Statistique Canada, avec le soutien de Santé Canada.

Pourquoi dit-on « vapoter »?

 

Le principe de fonctionnement de la cigarette électronique est de convertir un liquide concentré en vapeur qui peut être aspirée, comme la fumée de cigarette traditionnelle. Voilà pourquoi on dit « vapoter » plutôt que « fumer ». La vapeur se dissipe rapidement et laisse une légère odeur, qui varie selon la cartouche choisie (menthe ou fraise, par exemple).

 

 

 

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Si vous vapotez, vous faites partie d’un groupe qui ne cesse de croître. Selon une étude sur le tabagisme au Canada, environ 20 % des répondants âgés de 15 à 24 ans ont essayé la cigarette électronique au moins une fois1.

 

Si vous faites partie de ce 20 %, vous vous demandez peut-être ce que disent les experts au sujet des répercussions à long terme du vapotage sur la santé. Comme les cigarettes électroniques ne contiennent pas toujours de nicotine, elles peuvent sembler moins nocives que les cigarettes de tabac, qui en contiennent.

 

 

Le vapotage est-il sécuritaire?

 

Comme la relation amoureuse de certains de vos amis Facebook, c’est compliqué. Qu’il y ait ou non de la nicotine, il faut se renseigner sur le liquide vapoté pour être en mesure de répondre à la question. Les composantes du liquide varient d’une marque à l’autre, mais des chercheurs ont détecté la présence d’ingrédients connus comme étant cancérigènes, comme du plomb et du formaldéhyde, soit exactement le type de toxines que certains vapoteurs espèrent peut-être éviter2.

 

Par ailleurs, si certaines cigarettes électroniques pourraient être moins nocives que les cigarettes traditionnelles, cela ne veut pas dire qu’elles sont sécuritaires. Même si Santé Canada a tardé à réglementer la cigarette électronique, l’organisme a quand même fortement déconseillé leur usage aux Canadiens étant donné les risques potentiels qu’elles peuvent poser pour la santé.

 

 

Les cigarettes électroniques auront-elles un réel impact sur le coût de mon assurance?

 

Puisque le contenu en nicotine des cigarettes électroniques varie beaucoup, les vapoteurs sont considérés comme des fumeurs par de nombreux assureurs, dont BMO Assurance*. (En passant, vous êtes habituellement considéré comme fumeur si vous avez fait l’usage d’un produit de tabac au cours des 12 derniers mois. Vous avez accepté la cigarette d’un ami dans la dernière année? Ça y est, vous êtes fumeur.)

 

On croit que les fumeurs et les vapoteurs sont plus à risque de développer des problèmes de santé et potentiellement, de mourir plus jeunes. Il est donc probable que vous aurez à payer davantage pour votre assurance vie.

 

Par exemple, si vous êtes une vapoteuse de 31 ans somme toute en santé ayant une tarification standard, vous pourriez payer 13,86 $ par mois pour une police d’assurance vie TermeAvantage de 30 ans avec un capital assuré de 50 000 $. En comparaison, si vous ne vapotiez pas, vous pourriez ne payer que 10,08 $ par mois, soit une prime 37,5 % plus basse. Sur 30 ans, la différence se fait sentir : vous auriez à payer 1 360 $ de plus sur vos primes.

 

(Vous voulez savoir combien une assurance vie TermeAvantage pourrait vous coûter? Obtenez une soumission maintenant.)

 

Pour les polices plus substantielles, la différence de coût d’assurance pour les fumeurs et les vapoteurs est encore plus élevée. Pour une police de 200 000 $, par exemple, vous devriez payer 15,12 $ de plus par mois, ce qui signifie 5 443 $ de plus au terme des 30 ans que dure la police.

 

Quel que soit le type de cigarette que vous utilisez, vous pouvez vous attendre à payer des primes d’assurance plus élevées et ce, habituellement jusqu’à un an après avoir cessé de fumer ou de vapoter. Si vous êtes un vapoteur, vous devriez porter une attention particulière aux polices, qui définissent différemment ce qu’est un fumeur.

 

 

Si on prouve dans le futur que vapoter est plus sécuritaire, le coût d’assurance baissera-t-il?

 

Seul l’avenir le dira. Le tabagisme existe depuis des siècles et on en étudie les effets depuis des décennies, tandis que les cigarettes électroniques ne sont sur le marché que depuis une dizaine d’années. On peut donc s’attendre à ce que d’autres études et données soient publiées dans le futur, et possiblement à voir des changements à la réglementation. Si vous êtes chanceux, les recherches scientifiques prouveront que les cigarettes électroniques sont associées à un taux de mortalité inférieur à celui du tabac. Dans ce cas, il est possible que les primes d’assurance et les taux changent.

 

Par ailleurs, si vous fumiez ou vapotiez au moment de souscrire l’assurance vie, mais que vous avez arrêté depuis un an (durée requise habituellement), déclarez-vous à titre de non-fumeur. Certains assureurs pourraient accepter de modifier vos taux.

 

Conclusion: Lorsque vous magasinez une assurance sur le marché – et cherchez à obtenir le taux le plus bas possible - votre meilleure stratégie est d’éviter complètement les produits du tabac et les cigarettes électroniques. L’autre avantage? Vous bénéficierez des effets positifs sur la santé que vous apporte une vie sans fumée – et sans vapeur. Votre corps et votre portefeuille vous remercieront.

 

Vous songez à souscrire une assurance vie? Obtenez une soumission dès aujourd’hui.





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1 Le numéro spécial sur l’impact sur la santé du Centre pour l’avancement de la santé des populations Propel utilise les données de l’Enquête canadienne sur le tabac, l’alcool et les drogues de 2013 menée par Statistique Canada, avec la coopération et le soutien de Santé Canada. L’enquête téléphonique à composition aléatoire assistée par ordinateur a été menée de février à décembre 2013 auprès d’un groupe de Canadiens de 14 ans et plus.

 

2 Center for Tobacco Control Research and Education, Université de Californie, San Francisco

 

 

 

Les commentaires émis dans la présente sont de nature générale et ne doivent pas être interprétés comme des conseils juridiques ou fiscaux, car la situation de chaque client est différente. Veuillez parler à votre conseiller juridique ou à votre fiscaliste.

 

* BMO Société d’assurance-vie